Nous entendons beaucoup parler des (non) résultats de l’élection américaine et du refus des médias de concéder qu’il soit possible qu’on puisse tricher. Pour eux tout va très bien madame la marquise tout simplement parce que leur désir de voir Trump partir est plus fort que celui de rapporter la nouvelle.
Pourtant plusieurs juridictions ici comme aux États-Unis ont vu le danger d’utiliser de tels systèmes de vote. Doit-on se rappeler du fiasco des machines de PG Élection pour les municipales de 2005 ou la compagnie fut incapable de dire avec certitude qu’elle pouvait garantir l’intégrité du résultat qui gardait au pouvoir le Maire Gérald Tremblay qui a eu, si on se souvient bien, quelques ennuis d’éthique pendant son règne.
On a beau dire mais le système que l’on connait bien avec un vote papier qui est surveillé par un scrutateur et un secrétaire suggéré chacun par les différentes formations politiques et sous l’autorité des primos nommés par les directeurs d’élection locaux a fait ses preuves et même lorsque l’on aime pas le résultat, je ne me souviens pas de contestations légitimes hormis les recomptages quand les résultats sont très serrés.
Comment se fait-il qu’un pays avec un tel souci démocratique et une notion de « check and balance » aussi forte que celle des USA, en soit réduit à accepter les votes par la poste non sollicités et la tabulation par machine facilement piratable.
Je vous fais grâce de toutes les inquiétudes que démocrates comme républicains ont exprimé par le passé quand au vote par correspondance non sollicité ou l’on envoie dans la nature des millions de bulletins sans contrôle, sans moyen certain de valider. concentrons-nous aujourd’hui sur les machines.
On sait selon ce qui est sorti dernièrement dans les différentes interventions médias que la compagnie de machines de vote Dominion a des liens plus que douteux avec le régime Chavez-Maduro au Venezuela ou ses services auraient été requis afin de les maintenir au pouvoir, on sait aussi qu’elles ont eu de bizarres de problèmes ou elles ont « omis » de comptabiliser de nombreux blocs de votes principalement pour le président Trump. Un hasard certainement.
Mais pendant que les médias qui n’aiment pas Trump refusent de valider ne serait-ce que la possibilité que ces machines puissent avoir été utilisées pour faire de la fraude, juste un peu de recherche nous permet de voir pourquoi plusieurs états et pays dont le Canada, ne veulent rien savoir de confier leur démocratie à un système aussi perméable et dangereux.
Nous vous laissons juger par vous-même